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Xavier ROUCHAUD

Né à Limoges (France), je partage désormais mon temps entre Bruxelles depuis 1988 et Gavalochori près de Chania, en Crète depuis 2018, et mes 2 passions : la gravure et la photographie.

 

Gravure

Depuis mon enfance, je suis animé par une véritable passion pour l’image. Dès mon plus jeune âge, je suis captivé par le dessin à la plume, le lavis et les gravures qui peuplaient les murs de la maison familiale et les pages des livres qui m’entouraient. Influencé par des maîtres tels qu’Albrecht Dürer, Honoré Daumier et Henri de Toulouse-Lautrec, mon intérêt pour la gravure semblait presque prédestiné.

Mon parcours artistique commence très tôt, avec la pratique de la peinture dès l’âge de cinq ans, suivie par l’aquarelle et le croquis. Ce chemin me mène à l’Académie des Beaux-Arts de Boitsfort, où je fais la rencontre de Kikie Crèvecœur en 2010, marquant ainsi le début de mon immersion dans l’art de la gravure. Plus tard, je m’initie à la lithographie sous la direction d’Anne Catherine Van Santem et à la linogravure avec Jean-Claude Salemi en 2013 et 2014.

De 2014 à 2019, je rejoins l’atelier collectif de gravure et lithographie KASBA, un lieu d’échange artistique qui me permet de perfectionner ma technique grâce aux conseils de Jean-Pierre Lipit et Jean Coulon.

Mes œuvres sont exposées dans plusieurs expositions collectives, et quatre d’entre elles figurent dans les Collections du Centre de la Gravure.

Depuis juillet 2019, j’ai installé mon propre atelier à Gavalochori, en Crète, un village qui m’inspire et où j’ expose régulièrement mes créations.

 

 

Photographie

 

Mon aventure photographique a débuté très tôt, à l’âge de 10 ans, lorsque j’ai pris en main mon premier appareil, un Elioflex Ferrania. Ce modèle avait l’apparence d’un Rolleiflex, le fameux appareil TLR (Twins Lens Reflex) prisé des professionnels de l’époque, même si le mien n’en était qu’une version simplifiée, bien que très populaire.

Plus tard, j’ai hérité de mon premier boîtier à objectifs interchangeables, un appareil français, le FOCA, équipé d’un viseur à barillet. Cette acquisition a marqué un tournant dans ma manière de capturer le monde.

Avec le temps, ma collection d’appareils s’est agrandie, passant par plusieurs modèles réflex argentiques avant de plonger dans l’ère du numérique en 2002 avec un Canon EOS D60, qui, à l’époque, offrait la remarquable résolution de 6,3 millions de pixels. Ce fut le début d’une nouvelle ère photographique pour moi, une aventure enrichie par la découverte du post-traitement.

Aujourd’hui, mon outil de prédilection est le Leica Q3 28mm, un appareil qui m’accompagne dans ma quête de capturer le monde qui m’entoure.

En 2013 et 2014, deux stages avec PIVI (Pierre-Vincent Molinghen) ont été décisifs dans mon apprentissage de Lightroom et Photoshop. C’est grâce à ces logiciels que j’ai appris à sélectionner et sublimer mes images, affinant ainsi ma vision artistique.

Mes sujets de prédilection sont les paysages et la vie quotidienne, des moments suspendus que je tente de retranscrire à travers mon objectif.

De 2019 à 2024, j’ai eu le plaisir d’être membre du groupe Apokoronas Photography Group, où j’ai pu partager ma passion avec d’autres photographes.

J’ai également participé à plusieurs expositions collectives, en Belgique (Libramont), en Grèce (Athènes, La Canée, Kalives, Vamos).

Vous pouvez découvrir mon travail et suivre mes nouvelles créations sur

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